A la mort de Gérard Philipe, Aragon fut de ceux qui eurent le mot juste pour saluer le long sommeil de Perdican. Dans France Nouvelle du 03 Décembre 1959, l'auteur des Cloches de Bâle, d'Aurélien écrivait : "Les siens l'ont emporté dans le ciel des dernières vacances, à Ramatuelle, près de la mer, pour qu'il soit à jamais le songe du sable et du soleil, hors des brouillards, et qu'il demeure éternellement la preuve de la jeunesse du monde.
Et le passant, tant il fera beau sur sa tombe, dira : non, Perdican n'est pas mort !
Simplement, il avait trop joué, il lui fallait se reposer d'un long sommeil."
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